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![]() Amère catharsis et immolation sur l'autel de ses névroses d'un cinéaste roublard et insaisissable. |
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![]() Calvaire ésotérique d’une indigence stupéfiante, dont les lambeaux sont agrégés par la solaire et vénéneuse C. Ricci. |
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![]() J. Aniston campe une trentenaire étiolée par la pression sociale et réticente comme le film à insuffler vie à la fiction. |
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![]() Spirale radotant ses faiblesses et biaisant le rapport physique à l'image. Dos contre dos : aucune abjection frontale |
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![]() Instantanés agencés à la limite du lisible où les repères s'infléchissent et où ne persiste plus que la souffrance physique. |
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![]() Le concept narratif révèle sa puissance lorsque le burlesque s'estompe et que le questionnement déontologique resurgit. |
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![]() Potentiel tenant moins à la qualité des saynètes débridées qu’en l’espace cinégénique offert. |
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![]() Vacuité et déchéance d'êtres confinés, étouffés et castrés, entre dualité et altérité. Tristes jouets de corps et de passions. |
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![]() Dans un Tokyo labyrinthique, étude des regards, de leurs échos dans une fuite effrénée vers l'autre côté. |
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![]() Film atypique qui n’a de cesse de vouloir remplir le néant qu’il contient afin de se voir conférer une consistance. |
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![]() La mise en scène s'ingénie à capter l'effacement des êtres au profit d'une pure tonalité. |
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![]() Réfutant le numérique voici la désagrégation des surfaces sous un soleil écrasant. |
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