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Aberrant plaidoyer ethnocentrique au dogmatisme latent et crâne. Epître aporétique et désincarnée. |
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Pamphlet au vitriol qui décortique la mécanique leibnizienne du pli pour des héros travaillés en creux, jusqu’au malaise. |
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David Fincher signe un film sur l'enfermement et le repli sur soi. Une critique desservie par une surenchère visuelle. |
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Kaléidoscope exigeant et hallucinatoire le film se déploie par variations opprimées sinon compulsives. |
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Suc pestilentiel cooptant déshumanisation du matériau originel au profit d'errements désincarnés. |
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Une ode à la curiosité, à la beauté et au regard. Une chorégraphie sur les rapports sensuels à soi et aux autres. |
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Le scepticisme s'accroît avec un final tombant à plat après la séduisante emphase liminaire. |
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Instantanés agencés à la limite du lisible où les repères s'infléchissent et où ne persiste plus que la souffrance physique. |
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Film-montage sur le legs la filiation et l'altérité. La globalisation des marges entre lyrisme et haïkus. |
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Ravissement sexuel et jouissance de l’œil sont les deux pans de cette dérive vers la volupté |
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Le récit d'une vie à rebours, surprenant car tour à tour politique et polémique, poétique et métaphysique. |
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Le roman original transmué en un déluge graphique, outrancier et incohérent où bruit et fureur ne signifient rien. |
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Se colleter à la matière déchirante du souvenir pour acquérir une légitimité d'existence, se conférer un réel attrait. |
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U. Thurman stigmatise l’impossibilité du film à se dissocier totalement des codes établis. |
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Un conte amer, subtil et rigoureux sur l'aliénation féminine au sein d'une cité lunaire et aride. |
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Attraction de haute volée laissant un sentiment ambivalent. |
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Un trublion pétulant et ambigu dans l'apathie de corps désincarnés. |
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Frissons flibustiers, péripéties romantiques et surenchère roborative. |
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Film posthume, mortifère et errant, malade de son inanité et de l'incurie élégiaque de son auteur. |
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Sam Raimi filme avec sobriété l'avidité et le matérialisme de personnages prisonniers d'un enfer blanc. |
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Réalisation monotone au final amendé qui épouse le rythme cadencé et cyclothymique du féroce Benoît Poelvooorde. |
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Le projet sombre dans le système Klapisch, entre conception étriquée de la femme et laxisme d'une narration éclatée. |
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Cantique morne, défectif et dépressif le long métrage arpège les déviances viscérales de son auteur. |
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Fresque écrasée par la surenchère visuelle, les postures affectées et les afféteries compassées. |
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Réquisitoire imprécateur et complaisant revêtu des oripeaux fallacieux de l'objectivité. |
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Fable déconcertante et atroce mêlant, en un délire fantasmagorique, sacré et profane par sa décantation structurelle. |
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Le cinéaste s’enferme dans une théâtralité aux relents poussiéreux pour un florilège de visages déformés. |
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Pointilliste et pétillante, la fuite diffractée et euphorique d'un inadapté au sein d'une société sororale et matriarcale. |
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