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![]() Une fable humaniste sur la vie en communauté traversée par des bouffées d'humour et un écureuil hilarant. |
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![]() Comble d’une avalanche de gags à la drôlerie immédiate que de transformer son burlesque en sadisme. |
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![]() Au programme de cette bluette léthargique : chairs flasques et exotisme de pacotille. |
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![]() Échec de la captation clinique de l’abandon. La raideur structurelle fait glisser la vision féminine vers une virilité érectile. |
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![]() Un excellent épisode de la saga : torturé, ambigu et graphique. Action et rêves à satiété. |
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![]() Mirages et désillusions de l'image ainsi que de sa mythification. Quand l'amoureux fantasque est éconduit, trahi par l'il. |
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![]() Première oeuvre simple et subtile où Wang Chao retrace le mal-être de la Chine moderne et le besoin d'élévation. |
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![]() Métaphore mécanique où l'omniscience du créateur se ressent dans le plus infime rouage. |
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![]() Par la rationalisation de ses choix de mise en scène Zhang Yimou éradique la fonction de comburant du récit. |
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![]() Une chronique décalée, nostalgique et burlesque sur la famille et la seconde chance. |
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![]() La chute adultérine et narcissique d'un homme qui se désolidarise du monde à force de l'inféoder à son regard. |
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![]() Sinistre supplice du Pygmalion que d’observer le cisèlement d’un joyau convoité. |
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![]() Un polar métaphysique sur l'anéantissement d'individualités leurrées par une entité anonyme, achronique et ubiquiste. |
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![]() Le confluent d'un peuple désemparé et apathique devant les changements incessants de la société. |
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![]() Souvenirs en écho alliant truculence stridulante et émotion irrépressible. |
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![]() L'ingestion abrupte d'un être par un passé âpre, broyé par le dernier biais vivace d'endoctrinement. |
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![]() Adaptation paresseuse, terne et apathique. Tout sauf un hommage au grand H.G. Wells. |
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![]() Un trublion pétulant et ambigu dans l'apathie de corps désincarnés. |
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![]() Toute la fascination pour le Mal qui nervure l’œuvre de R. Polanski trouve un exutoire pour le moins ostentatoire. |
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![]() Un conte amer, subtil et rigoureux sur l'aliénation féminine au sein d'une cité lunaire et aride. |
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![]() Fresque écrasée par la surenchère visuelle, les postures affectées et les afféteries compassées. |
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![]() Après un introït intrigant, le film se perd dans les abîmes de la surenchère et de la médiocrité jusqu'au marasme. |
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![]() Moratoire d'une adolescence déclinante au scénario convenu et à la mise en scène insipide et acidulée. |
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![]() La mise en scène s'ingénie à capter l'effacement des êtres au profit d'une pure tonalité. |
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![]() Réfutant le numérique voici la désagrégation des surfaces sous un soleil écrasant. |
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![]() Le cinéaste retourne aux sources d'un formalisme féroce fait d'extase et de décalages. |
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![]() Moretti brouille les pistes en adoptant une représentation non seulement métaphorique mais surtout fractale. |
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![]() Ethnocentrisme cynique et rationalisme aseptisé sont les deux moteurs anodins et asthmatiques de ce parangon normatif. |
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![]() Chronique pure et fraîche sur la réaction au deuil et le passage à l'âge adulte d'un artiste par harmonisation des sens. |
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![]() Le souffle limpide du visage d’un purgatoire inique et paradoxal condamné à voir défiler son enfance innocente. |
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![]() Aberrant plaidoyer ethnocentrique au dogmatisme latent et crâne. Epître aporétique et désincarnée. |
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![]() Suc pestilentiel cooptant déshumanisation du matériau originel au profit d'errements désincarnés. |
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![]() Film-montage sur le legs la filiation et l'altérité. La globalisation des marges entre lyrisme et haïkus. |
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![]() Cantique morne, défectif et dépressif le long métrage arpège les déviances viscérales de son auteur. |
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![]() Réquisitoire imprécateur et complaisant revêtu des oripeaux fallacieux de l'objectivité. |
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![]() Série B à l’économie où l’humanité se collette à ses démons dans une atmosphère désolée d'apocalypse cendreuse. |
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![]() Expérimentation de l'affirmation identitaire dans le giron d'un collectif patriarcal. |
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![]() Allure inouïe à sonder l'âme séculaire grâce à un abandon intelligent des oripeaux du genre. |
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![]() Entre absurdité et drame, les oubliés de la modernité côtoient une démocratie balbutiante. |
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![]() Frissons flibustiers, péripéties romantiques et surenchère roborative. |
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![]() Brillant thriller, maîtrisé, surprenant, hypnotisant et psychologique. Un oedipe torturé. |
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![]() La première apparition du Dr Lecter dans un film pictural où temps et espace concourent à capturer l'imaginaire. |
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![]() Spasmes d'amour visant, autour d'un corps absent, à reconstruire les chairs de psychés à la dérive. |
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![]() Mysticisme besogneux et inepte noyé dans une esthétique de pacotille. Le film finit par s'évaporer à force de vacuité. |
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![]() Un oeuvre délicate sur l'isolement et la foi. Une quête agnostique centrée sur la psyché d'une femme à la dérive. |
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![]() Par le truchement des sens, l’éveil éparpillé à l'existence symbiote d’un lien incoercible à l'entité sociale aliénante. |
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![]() Miyazaki excelle dans les instants sauvages, négation obstinée de la chape ambiante. |
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![]() Sous l'ectoplasme, des personnages déviants, brûlant d'habiter la scène |
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![]() Sensation d'absence d'échappatoire pour images prisonnières d'un horizon visuel pétrifiant. |
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![]() Ersatz de polar sauvé de la caricature par sa propension à substituer le film à son sujet. |
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![]() Le projet sombre dans le système Klapisch, entre conception étriquée de la femme et laxisme d'une narration éclatée. |
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![]() Fable déconcertante et atroce mêlant, en un délire fantasmagorique, sacré et profane par sa décantation structurelle. |
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![]() Le projet déflationniste conduit par Tim Story renie le cognitif pour se concentrer sur l'organique. |
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![]() Dans une mise en scène frigide et glacée, Sam Mendes plonge aux confins de l'dipe. |
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![]() Calvaire ésotérique d’une indigence stupéfiante, dont les lambeaux sont agrégés par la solaire et vénéneuse C. Ricci. |
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![]() Le cinéaste nous attire dans l’adhérence de son ensemble pour surligner la traversée d’une frontière. |
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![]() Frontière des volumes et des exsudations de l'âme où le film se vautre dans l'esthétique éculée et l'anarchie pompière. |
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![]() Chronique d’une débâcle laissant dans son sillage cataclysmique de fines perceptions immanentes et lumineuses. |
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![]() Veille hagarde de deux êtres aux extrémités d'une tmèse arpentant un dédale diapré de venelles introspectives. |
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![]() L’ultime déclinaison de la comédie romantique, parachèvement pataud d’un édifice moribond au roboratif attrait. |
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![]() L'orfèvre Kurosawa s'ingénie à disséquer les mécaniques - de ruptures - de tous les genres qu'il côtoyât. |
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![]() Reflet d'un monde figé, confronté à son double. Sa quête paradoxale du bonheur et de la vie. |
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