![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() L'allégorie du train rejoint le satori, réverbération d'une sagesse fuyante dont la recherche est la respiration d'une vie. |
![]() |
![]() |
![]() Moretti brouille les pistes en adoptant une représentation non seulement métaphorique mais surtout fractale. |
![]() |
![]() |
![]() Traité décortiquant notre masochisme, le film se targue de cohabitation alors qu’il ne prône que la marginalisation. |
![]() |
![]() |
![]() Surprenant et âpre premier film qui s'évertue à dématérialiser son enjeu pour se complaire dans le fatalisme. |
![]() |
![]() |
![]() Derrière l'immanence du maniérisme virtuel pointe l'audace échevelée des serials d'antan. |
![]() |
![]() L’humanisme charrié par le héros lunaire se heurte au cynisme du cinéaste, pour un KO avant la limite. |
![]() |
![]() Une édifiante mise en abîme pour un film balisant le cheminement vers une maturité d'obédience monotone. |
![]() |
![]() Sous le réalisme, le film pêche à circonscrire les rebuffades d'un héros intemporel et immature, d'où l'inanité du projet. |
![]() |
![]() Intrigue d’une inanité et d’une bêtise lénifiantes : déréliction dans laquelle se débat cette soupe visqueuse et abjecte. |
![]() |
![]() |
![]() Ethnocentrisme cynique et rationalisme aseptisé sont les deux moteurs anodins et asthmatiques de ce parangon normatif. |
![]() |
![]() |
![]() Sous le déluge glamour et iconoclaste pointe la castration et l'aliénation de références pesantes. |
![]() |
![]() |
![]() Tout le bestiaire burtonien affleure mais il peine s’ébrouer sur un script résigné. |
![]() |
![]() Souvenirs en écho alliant truculence stridulante et émotion irrépressible. |
![]() |
![]() |
![]() Apreté de la réalité chinoise prise dans une dérive du cadre, entre reliques de dictature et capitalisme sauvage. |
![]() |
![]() |
![]() Chronique pure et fraîche sur la réaction au deuil et le passage à l'âge adulte d'un artiste par harmonisation des sens. |
![]() |
![]() |
![]() Par le truchement des sens, l’éveil éparpillé à l'existence symbiote d’un lien incoercible à l'entité sociale aliénante. |
![]() |
![]() |
![]() Par la rationalisation de ses choix de mise en scène Zhang Yimou éradique la fonction de comburant du récit. |
![]() |
![]() Entre deux rives, film et héros peinent à concilier essence et paraître. Hymne délavé et léger à l’iridescente Julie Gayet. |
![]() |
![]() |
![]() Musique et langage se consument dans les volutes d’une ésotérique dimensionnalité. |
![]() |
![]() |
![]() Miyazaki excelle dans les instants sauvages, négation obstinée de la chape ambiante. |
![]() |
![]() |
![]() Le schisme capiteux striant l'image précipite l'affaissement des idéaux et des sentiments |
![]() |
![]() |
![]() Film trouble confrontant l'existence du corps à la voix dans un monde phagocyté par la vision torturée d'un névropathe. |
![]() |
![]() |
![]() Catharsis feutrée, entre sincérité déconcertante et mise en scène pédante par la dimension qu’acquiert la voix. |
![]() |
![]() |
![]() Navet indigne où la mise en scène est annihilée par un reliquaire de poncifs et dont Christina Ricci demeure absente. |
![]() |
![]() |
![]() Anticipation anxiogène et égocentrique peinant à rendre la claustration d'un cerveau envisagé comme l'enfer moderne. |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |