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![]() Un météore halluciné horripilant par sa lourdeur grotesque et charmant par son syncrétisme vénéneux. |
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![]() Filature enjoignant à la flânerie, qui enfouit sa périphérie dans la fixité métallique de l’été languide qui l’habite. |
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![]() La mise en scène, tout en ruptures, arbore une tonalité dérangeante pour le visionné ou le spectateur, acculés. |
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![]() La texture hypnotise : beauté fuselée ou lenteur différée des mouvements induisent un érotisme prégnant. |
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![]() Le long métrage s'étiole ainsi dans un climax austère et stérilisé induisant une dépression presque morbide. |
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![]() Descente aux enfers pour un veuf à la recherche d'une épouse. Un film dérangeant et violent sur l'altérité. |
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![]() Une métaphore de la barrière ténue et poreuse entre réel et virtuel. Un objet hybride, incongru et (d)étonnant. |
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![]() Film s’enfoncant dans l’auto-parodie jusqu’à se liquéfier dans une morne mastication des mythes fondateurs du Far West. |
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![]() Dialogue encéphalique entre quatre pans d'une féminité balbutiante. Emouvante et limpide, l'accession à la maturité. |
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![]() Une bluette convenue au maintien propret investie par ses déviances de bon aloi, réprimées, naïves et cadencées. |
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![]() L’incarnation de la tumescence du mot duquel surgit l’image : une dialectique errante de réalité et de rêve. |
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![]() Le cinéaste s’emploie à représenter la torve pénétration du désir dans les chairs éplorées et les cœurs racornis. |
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![]() Montage décérébré et propos dégénéré se disputent la vedette tandis que Snipes erre en pleine léthargie. |
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![]() Film médiocre et irritant à force d'afféterie, de violence gratuite, de calembours douteux et de mauvais goût navrant. |
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![]() Abandon extatique à une envoûtante peinture de la complexité de la vie et de l'incessante lutte pour y voler son infime liberté. |
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![]() Buté, le cinéaste s'entête dans la fresque chorale en cooptant tout élément de sa mosaïque éclatée à un stéréotype. |
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![]() Tornade irrésistible et drolatique où, las d'errements, l'on se confronte à ses fêlures, intimes et cosmopolites. |
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![]() Duperie anarchique, conjointe et réciproque d’un satiriste avachi et de ses images torves. |
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![]() Périple désinvolte où corps et esprit errent chacun à la recherche de l’autre dans une architecture baroque. |
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![]() Au programme de cette bluette léthargique : costumes de carnaval, chairs flasques et exotisme de pacotille. |
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![]() Le génie burlesque de J. Carrey englué dans une comédie opportuniste, à la théologie sirupeuse et lénifiante. |
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![]() L'allégorie du train rejoint le satori, réverbération d'une sagesse fuyante dont la recherche est la respiration d'une vie. |
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![]() Traité décortiquant notre masochisme, le film se targue de cohabitation alors qu’il ne prône que la marginalisation. |
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![]() Surprenant et âpre premier film qui s'évertue à dématérialiser son enjeu pour se complaire dans le fatalisme. |
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![]() Derrière l'immanence du maniérisme virtuel pointe l'audace échevelée des serials d'antan. |
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![]() L’humanisme charrié par le héros lunaire se heurte au cynisme du cinéaste, pour un KO avant la limite. |
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![]() Une édifiante mise en abîme pour un film balisant le cheminement vers une maturité d'obédience monotone. |
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![]() Sous le réalisme, le film pêche à circonscrire les rebuffades d'un héros intemporel et immature, d'où l'inanité du projet. |
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![]() Intrigue d’une inanité et d’une bêtise lénifiantes : déréliction dans laquelle se débat cette soupe visqueuse et abjecte. |
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![]() Sous le déluge glamour et iconoclaste pointe la castration et l'aliénation de références pesantes. |
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![]() Tout le bestiaire burtonien affleure mais il peine s’ébrouer sur un script résigné. |
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![]() Apreté de la réalité chinoise prise dans une dérive du cadre, entre reliques de dictature et capitalisme sauvage. |
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![]() Entre deux rives, film et héros peinent à concilier essence et paraître. Hymne délavé et léger à l’iridescente Julie Gayet. |
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![]() Musique et langage se consument dans les volutes d’une ésotérique dimensionnalité. |
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![]() Le schisme capiteux striant l'image précipite l'affaissement des idéaux et des sentiments |
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![]() Film trouble confrontant l'existence du corps à la voix dans un monde phagocyté par la vision torturée d'un névropathe. |
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![]() Catharsis feutrée, entre sincérité déconcertante et mise en scène pédante par la dimension qu’acquiert la voix. |
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![]() Navet indigne où la mise en scène est annihilée par un reliquaire de poncifs et dont Christina Ricci demeure absente. |
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![]() Anticipation anxiogène et égocentrique peinant à rendre la claustration d'un cerveau envisagé comme l'enfer moderne. |
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![]() Asyndète hypnotique et dissociative où l'objectif ignoré traque la mémoire sédimentaire et féminine unissant êtres et lieux. |
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![]() Cauchemar d'une femme aliénée socialement et maritalement. Inventif et audacieux : une oeuvre indémodable. |
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![]() Piètre boursouflure, ce non-film égaré dans les miasmes de la fatuité abhorre l'hagiographie torturée qu'il dépeint. |
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![]() Thriller gothique et théâtral magnifié par un montage et une histoire haletante ainsi qu'un humour auto-parodique. |
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![]() Frontière heurtant la pérennité des choses. Subjectif et objectif, le lien imprécatoire de l'homme et du paysage. |
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![]() Salma Hayek aimante dans une traçabilité du désir idoine à effleurer la cruauté d’une existence. |
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![]() Film repu de symboles, organique, obsédant et mimétique qui dépeint notre perception et dialectique de l'image. |
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![]() Apothéose mortifère de l’épopée avec l'agonie de corps ayant accompli leur mue numérique. |
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![]() Délire régressif où l'on s'emploie à éconduire l'image trépanée pour une explosion musicale. |
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![]() Suite des exactions de la Mort qui décime des pantins semi-lucides en pleine dégénérescence psychosomatique. |
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![]() Manège sylvestre où les héros sont déchiquetés par la morbidité poisseuse et ricanante du consumérisme. |
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![]() Parangon d’action forgé dans l’organique sapé par une disparition du corps emblématique. |
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![]() Travail de mémoire et de deuil, réflexion délicate et contemplative sur l'innocence des victimes, et sur l'existence. |
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![]() Remake indolent et désabusé à la gloire d'A. Hopkins, privilégiant facilité et surface à une quelconque profondeur. |
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![]() Sur un postulat limpide, une comédie anxieuse et ouatée au bord d'une confortable dispersion |
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![]() Spin-off cheap à tous les étages, souffreteux et inepte, se perdant dans la lutte manichéenne et molle du bien et du mal. |
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![]() Apologue hémorragique de l'ouverture à soi où le foyer fait autant figure de récif que de bunker. |
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![]() Le challenge réside dans la viabilité de son dispositif épistolaire instillant matérialisation temporelle prégnante. |
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![]() Deux fulgurants courts métrages sur l’évolution générationnelle dans la manière d’appréhender la représentation féminine. |
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![]() Entre chien et loup : Parade distendue et identitaire devant un sujet charnel et ténu, la libido contemporaine. |
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![]() Joyau régressif amateur mêlant dans une énergie proche de l'hystérie humour libertaire et viscères sanglants. |
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![]() Sur un mode défectif, le film se complaît dans le misérabilisme et s’en remet à son dispositif troussé sans génie. |
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![]() Englué dans un carcan binaire, un cinéaste aux abois, errant avec flegme de transgressions molles en raffinement éventé. |
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![]() Déliquescence d’un univers malade, miné par des années de martyrs qui apparaît sur le visage de Calista Flockhart. |
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![]() Une adaptation trop démonstrative, un scénario exsangue et une mise en scène opiacée. |
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![]() Voyage ontologique dans les méandres boueux d'une idéologie, d'un imaginaire et d'une identité à venir. |
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![]() Oeuvre singulière, entre sincérité et hypocrisie, épinglé en pamphlet générationnel mortifère et torturé. |
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![]() Adaptation à l'image de la BD culte éponyme, désenchantée. Le sinueux passage de juge amusé à partie prenante. |
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![]() Les rapports obscurs entre passé et présent. Face à ce trouble miroir, la mélancolie transpire. |
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![]() Film impersonnel de l'électron libre Mathieu Kassovitz qu'un scénario indigent et plagiaire rend atrocement prévisible. |
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![]() Un moment magnifique, dramatique et tendre que l'humour et la violence rendent plus lucide et plus émouvant encore. |
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![]() Comment gâcher une bonne histoire en privilégiant les effets gratuits. Une énorme déception ! |
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![]() Un pamphlet féroce, acide et cynique de notre société. On hésite entre le rire et les larmes. |
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![]() Une oeuvre limpide sur l'imaginaire et la solidarité. Seuls palliatifs aux agressions urbaines et économiques. |
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![]() Préambule parfaitement huilé dont l'éparpillement génère une mutation inquiète du paysage. |
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![]() Une lutte impavide dans les méandres de la conscience, le chemin de l'émancipation. |
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![]() Réalisation flanquée d’un déni d’ambitions, se bornant à aligner des symboles exsangues. |
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![]() Production de genre pour un cinéaste survolté, masochiste et désinvolte vis à vis du studio et de l'audience. |
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![]() Propension unaire d'un film à se concentrer non sur son absence de réel sujet mais bien sur lui en tant que pur signifiant. |
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![]() La fusion baroque d’une esthétique morbide et sensuelle avec les dérives anxiogènes contemporaines. |
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![]() Schisme ontologique sondant les affres schizophrènes de la création et vampirisé par sa torve égérie. |
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![]() Pamphlet en creux sur l’impact obscène de la propagande culturelle aberrante sévissant en Corée du Nord. |
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![]() Plombé par ses réflexes grégaires et ses envolées grandiloquentes le film se perd dans la surenchère gore. |
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![]() Epopée centrée sur l’homme où le classicisme s’épanche, sans artifice, dans une ronde des visages. |
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![]() Une fable humaniste sur la vie en communauté traversée par des bouffées d'humour et un écureuil hilarant. |
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![]() Comble d’une avalanche de gags à la drôlerie immédiate que de transformer son burlesque en sadisme. |
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![]() Échec de la captation clinique de l’abandon. La raideur structurelle fait glisser la vision féminine vers une virilité érectile. |
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![]() Mirages et désillusions de l'image ainsi que de sa mythification. Quand l'amoureux fantasque est éconduit, trahi par l'il. |
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![]() Première oeuvre simple et subtile où Wang Chao retrace le mal-être de la Chine moderne et le besoin d'élévation. |
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![]() Par la rationalisation de ses choix de mise en scène Zhang Yimou éradique la fonction de comburant du récit. |
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![]() Une chronique décalée, nostalgique et burlesque sur la famille et la seconde chance. |
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![]() La chute adultérine et narcissique d'un homme qui se désolidarise du monde à force de l'inféoder à son regard. |
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![]() Sinistre supplice du Pygmalion que d’observer le cisèlement d’un joyau convoité. |
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![]() Un polar métaphysique sur l'anéantissement d'individualités leurrées par une entité anonyme, achronique et ubiquiste. |
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![]() Le confluent d'un peuple désemparé et apathique devant les changements incessants de la société. |
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![]() Souvenirs en écho alliant truculence stridulante et émotion irrépressible. |
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![]() L'ingestion abrupte d'un être par un passé âpre, broyé par le dernier biais vivace d'endoctrinement. |
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![]() Adaptation paresseuse, terne et apathique. Tout sauf un hommage au grand H.G. Wells. |
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![]() Toute la fascination pour le Mal qui nervure l’œuvre de R. Polanski trouve un exutoire pour le moins ostentatoire. |
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![]() Un conte amer, subtil et rigoureux sur l'aliénation féminine au sein d'une cité lunaire et aride. |
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![]() Après un introït intrigant, le film se perd dans les abîmes de la surenchère et de la médiocrité jusqu'au marasme. |
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![]() Moratoire d'une adolescence déclinante au scénario convenu et à la mise en scène insipide et acidulée. |
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![]() La mise en scène s'ingénie à capter l'effacement des êtres au profit d'une pure tonalité. |
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![]() Réfutant le numérique voici la désagrégation des surfaces sous un soleil écrasant. |
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![]() Le cinéaste retourne aux sources d'un formalisme féroce fait d'extase et de décalages. |
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![]() Moretti brouille les pistes en adoptant une représentation non seulement métaphorique mais surtout fractale. |
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![]() Ethnocentrisme cynique et rationalisme aseptisé sont les deux moteurs anodins et asthmatiques de ce parangon normatif. |
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![]() Chronique pure et fraîche sur la réaction au deuil et le passage à l'âge adulte d'un artiste par harmonisation des sens. |
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![]() Le souffle limpide du visage d’un purgatoire inique et paradoxal condamné à voir défiler son enfance innocente. |
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![]() Métaphore mécanique où l'omniscience du créateur se ressent dans le plus infime rouage. |
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![]() Aberrant plaidoyer ethnocentrique au dogmatisme latent et crâne. Epître aporétique et désincarnée. |
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![]() Suc pestilentiel cooptant déshumanisation du matériau originel au profit d'errements désincarnés. |
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![]() Film-montage sur le legs la filiation et l'altérité. La globalisation des marges entre lyrisme et haïkus. |
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![]() Cantique morne, défectif et dépressif le long métrage arpège les déviances viscérales de son auteur. |
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![]() Réquisitoire imprécateur et complaisant revêtu des oripeaux fallacieux de l'objectivité. |
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![]() Série B à l’économie où l’humanité se collette à ses démons dans une atmosphère désolée d'apocalypse cendreuse. |
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![]() Expérimentation de l'affirmation identitaire dans le giron d'un collectif patriarcal. |
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![]() Allure inouïe à sonder l'âme séculaire grâce à un abandon intelligent des oripeaux du genre. |
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![]() Entre absurdité et drame, les oubliés de la modernité côtoient une démocratie balbutiante. |
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![]() Brillant thriller, maîtrisé, surprenant, hypnotisant et psychologique. Un oedipe torturé. |
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![]() Spasmes d'amour visant, autour d'un corps absent, à reconstruire les chairs de psychés à la dérive. |
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![]() Mysticisme besogneux et inepte noyé dans une esthétique de pacotille. Le film finit par s'évaporer à force de vacuité. |
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![]() Un oeuvre délicate sur l'isolement et la foi. Une quête agnostique centrée sur la psyché d'une femme à la dérive. |
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![]() Par le truchement des sens, l’éveil éparpillé à l'existence symbiote d’un lien incoercible à l'entité sociale aliénante. |
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![]() Miyazaki excelle dans les instants sauvages, négation obstinée de la chape ambiante. |
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![]() Sous l'ectoplasme, des personnages déviants, brûlant d'habiter la scène |
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![]() Sensation d'absence d'échappatoire pour images prisonnières d'un horizon visuel pétrifiant. |
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![]() Ersatz de polar sauvé de la caricature par sa propension à substituer le film à son sujet. |
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![]() Le projet sombre dans le système Klapisch, entre conception étriquée de la femme et laxisme d'une narration éclatée. |
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![]() Fable déconcertante et atroce mêlant, en un délire fantasmagorique, sacré et profane par sa décantation structurelle. |
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![]() Le projet déflationniste conduit par Tim Story renie le cognitif pour se concentrer sur l'organique. |
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![]() Dans une mise en scène frigide et glacée, Sam Mendes plonge aux confins de l'dipe. |
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![]() Calvaire ésotérique d’une indigence stupéfiante, dont les lambeaux sont agrégés par la solaire et vénéneuse C. Ricci. |
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![]() Le cinéaste nous attire dans l’adhérence de son ensemble pour surligner la traversée d’une frontière. |
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![]() Frontière des volumes et des exsudations de l'âme où le film se vautre dans l'esthétique éculée et l'anarchie pompière. |
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![]() L'orfèvre Kurosawa s'ingénie à disséquer les mécaniques - de ruptures - de tous les genres qu'il côtoyât. |
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![]() Chronique d’une débâcle laissant dans son sillage cataclysmique de fines perceptions immanentes et lumineuses. |
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![]() Veille hagarde de deux êtres aux extrémités d'une tmèse arpentant un dédale diapré de venelles introspectives. |
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![]() L’ultime déclinaison de la comédie romantique, parachèvement pataud d’un édifice moribond au roboratif attrait. |
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![]() Reflet d'un monde figé, confronté à son double. Sa quête paradoxale du bonheur et de la vie. |
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![]() La première apparition du Dr Lecter dans un film pictural où temps et espace concourent à capturer l'imaginaire. |
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![]() Décorum glamour, langues ou musicalités désinvoltes : splendide portrait d'une ado apatride et moderne. |
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![]() Une première oeuvre jubilatoire et hétéroclite sur le suicide et l'amour lesbien. Un récit dense et abscons sur la mort. |
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![]() Suite-mirage, qui explore la circulation fluide d’une mémoire gigogne en glorifiant la décontraction ludique et nomade. |
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![]() Romanesque et aérien le script est magnifié par une réalisation fluide et une Gong Li transfigurée. |
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![]() Remake inepte se colletant à un parangon du patrimoine avec une frontalité saccageuse et nauséabonde. |
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![]() Miroir futuriste tourmenté sur l'aliénation induite par les images, magma opaque d'innocence et de culpabilité. |
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![]() Film se colletant avec le problème inhérent de la transposition entre télévision et grand écran, celui de l'envergure. |
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![]() Moraliste et étriquée, la détresse d'un homme prenant conscience de son insignifiance et de son évanouissement. |
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![]() Avalanche de gags pour ce cartoon burlesque. Des personnages attachants et une critique sous-jacente. |
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![]() Sur une surface déliquescente et ténue les héros courent, sautent, se faufilent jusqu’à exténuation. |
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![]() A la limite du documentaire, une peinture moderne et intime d'une famille éclatée au quotidien. |
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![]() Film d'intérieur brossant avec fluidité les espaces englobant les héros ainsi que la mécanique pugilistique du coït. |
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![]() Fresque écrasée par la surenchère visuelle, les postures affectées et les afféteries compassées. |
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![]() Polar urbain et orphique renouant avec l'efficacité du genre et confiné dans un passage ontologique, saumâtre et allégorique. |
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![]() Choix de cheviller une déroutante étrangeté à la mise en scène pour livrer un dédale d'atmosphère plus qu'un récit tangible. |
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![]() Tableau dénué d'intérêt sur l'imaginaire et l'enfance brossé à coup de cadres plombés et d'aristocratie amidonnée. |
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![]() Privilégiant une approche clinique, Fruit Chan s'ingénie à développer un univers précaire de l'entre-deux. |
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![]() Un déluge de glamour, toujours plus de clins d'œil désopilants, force mises en abîme et une autodérision proclamée. |
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![]() Une réalisation taraudée par le motif ostentatoire de la gémellité à qui un script fumeux dicte son errance de pacotille. |
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![]() Pamphlet au vitriol qui décortique la mécanique leibnizienne du pli pour des héros travaillés en creux, jusqu’au malaise. |
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![]() David Fincher signe un film sur l'enfermement et le repli sur soi. Une critique desservie par une surenchère visuelle. |
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![]() Kaléidoscope exigeant et hallucinatoire le film se déploie par variations opprimées sinon compulsives. |
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![]() Une ode à la curiosité, à la beauté et au regard. Une chorégraphie sur les rapports sensuels à soi et aux autres. |
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![]() Le scepticisme s'accroît avec un final tombant à plat après la séduisante emphase liminaire. |
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![]() Ravissement sexuel et jouissance de l’œil sont les deux pans de cette dérive vers la volupté |
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![]() Le récit d'une vie à rebours, surprenant car tour à tour politique et polémique, poétique et métaphysique. |
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![]() Le roman original transmué en un déluge graphique, outrancier et incohérent où bruit et fureur ne signifient rien. |
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![]() Se colleter à la matière déchirante du souvenir pour acquérir une légitimité d'existence, se conférer un réel attrait. |
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![]() U. Thurman stigmatise l’impossibilité du film à se dissocier totalement des codes établis. |
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![]() Attraction de haute volée laissant un sentiment ambivalent. |
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![]() Un trublion pétulant et ambigu dans l'apathie de corps désincarnés. |
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![]() Frissons flibustiers, péripéties romantiques et surenchère roborative. |
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![]() Film posthume, mortifère et errant, malade de son inanité et de l'incurie élégiaque de son auteur. |
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![]() Réalisation monotone au final amendé qui épouse le rythme cadencé et cyclothymique du féroce Benoît Poelvooorde. |
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![]() Le cinéaste s’enferme dans une théâtralité aux relents poussiéreux pour un florilège de visages déformés. |
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![]() Pointilliste et pétillante, la fuite diffractée et euphorique d'un inadapté au sein d'une société sororale et matriarcale. |
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![]() A l'aide de plans orfévrés et de variations de tempo, le film impose un canevas épuré mais d'une classe folle. |
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![]() Séisme visuel dans un mode dichromatique pour une expérience d’une profonde et singulière empathie. |
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![]() Adaptation plagiaire, racoleuse et efficace. De l'action décérébrée mais limitant les dégâts avec en tête Milla Jovovitch. |
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![]() Une adaptation intelligente et angoissante entre virtuel et archaïsme. Un état des lieux nippon. |
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![]() Double trompeur, déformé et inspiré de son prédécesseur. Un moment d'angoisse, soigné et déstabilisant. |
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![]() Avec un ton résolument original la troupe bricole l’éloge de l’émiettement, du farniente préhistorique et inconséquent. |
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![]() Cocktail fantaisiste irradiant tous les recoins du plaisir par l’injection d’un dualité renversante, notamment féminine. |
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![]() Déclin d'une femme allergique à son décor. Un bréviaire clinique sur l'immobilisme claustral et l'ennui existentiel. |
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![]() Farce syncrétique parfois douteuse mais ô combien allègre grâce à des répliques ciselées et à un casting de haut vol. |
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![]() Polar affichant une maîtrise édifiante de sa temporalité et une analyse discursive de son étiolement adipeux. |
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![]() Comédie plate, prévisible et gâchée par l'omission prudente de questions polémiques. |
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![]() Tableau vulgaire et opportuniste qui, dans la dépravation ou l’éthique, ne privilégie que la plus péjorative normalité. |
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![]() Tragédie des espoirs contrariés où abondent éléments verticaux renforçant le sentiment d’un exil perpétuel. |
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![]() L’idée salvatrice tient dans le glissement d’une agonie de corps mutants inadaptés vers le drame des femmes. |
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![]() Nanar fastidieux où le corps s’apprivoise en un abîme addictif sous la férule de l'oeil pernicieux de femmes-dealers. |
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![]() Condensé d’angles extravagants, d’horreurs, d’incarnations plastiques dérangeantes et d’angoisses lancinantes. |
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![]() Expérimentation formelle sur la phénoménologie du désir énamouré, irisée de sensualité et marbrée de spleen. |
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![]() La génèse magique et inspirée d'un héros au seuil de l'âge adulte. Humilité, profondeur et intelligence prévalent. |
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![]() Enchantement formel et dramatique, somatique et psychanalytique, atteignant un degré d’authenticité sidérant. |
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![]() Un excellent épisode de la saga : torturé, ambigu et graphique. Action et rêves à satiété. |
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![]() Afféterie aseptisée, le film est plus un verbatim suffisant que la révolution stylistique à laquelle il aspire ardemment. |
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![]() Enluminure inféodée et prosodique, la quête d'une femme vouée au néant pour se découvrir. |
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![]() Ersatz de crucifixion, tantôt napthaliné, tantôt platonique, d'où s'élève la litanie d'un voyage dénué de substance. |
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![]() Une adaptation et une Molly Parker à l'image de cette rivière, sombre, froide, dangereuse et hypnotique. |
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![]() Avatar de l’enfantement fictionnel, délayé dans la javel d’azur par l’ascèse empesée d’une mise en scène mécanique. |
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![]() Amère catharsis et immolation sur l'autel de ses névroses d'un cinéaste roublard et insaisissable. |
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![]() J. Aniston campe une trentenaire étiolée par la pression sociale et réticente comme le film à insuffler vie à la fiction. |
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![]() Spirale radotant ses faiblesses et biaisant le rapport physique à l'image. Dos contre dos : aucune abjection frontale |
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![]() Instantanés agencés à la limite du lisible où les repères s'infléchissent et où ne persiste plus que la souffrance physique. |
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![]() Le concept narratif révèle sa puissance lorsque le burlesque s'estompe et que le questionnement déontologique resurgit. |
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![]() Vacuité et déchéance d'êtres confinés, étouffés et castrés, entre dualité et altérité. Tristes jouets de corps et de passions. |
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![]() Dans un Tokyo labyrinthique, étude des regards, de leurs échos dans une fuite effrénée vers l'autre côté. |
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![]() Film atypique qui n’a de cesse de vouloir remplir le néant qu’il contient afin de se voir conférer une consistance. |
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![]() Iconoclaste, une lente émancipation des corps sublimant une enveloppe charnelle monolithique. |
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![]() Récit déséquilibré : de séduisant, il devient pesant, indigeste, voir pire, redondant. |
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![]() Condensé de verve critique et ode émérite à l’intelligence pour un équilibre de détente et d'introspection. |
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![]() Sam Raimi filme avec sobriété l'avidité et le matérialisme de personnages prisonniers d'un enfer blanc. |
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![]() Potentiel tenant moins à la qualité des saynètes débridées qu’en l’espace cinégénique offert. |
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![]() Un film noir fascinant et original où ambiance et dialogues mènent la danse. Contaminé par son héros sans passion. |
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![]() Caricature fade dont les pantins peu concernés s’étiolent en une flasque transparence. |
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![]() Dérive solipsiste d'un homme corseté par un trio aux relents religieux et psychanalytiques. |
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![]() Dislocation temporelle flétrie où les afféteries de style masquent à peine des héros stéréotypés, faméliques et versatiles. |
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![]() Un polar existentialiste, noir, désabusé : critique des circonvolutions et de l'absurdité d'une vie urbaine sclérosée. |
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![]() Bouillie frelatée de motifs picturaux grotesques, de complots éventés et de morale balourde. |
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