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Un film noir fascinant et original où ambiance et dialogues mènent la danse. Contaminé par son héros sans passion. |
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Une fable humaniste sur la vie en communauté traversée par des bouffées d'humour et un écureuil hilarant. |
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Comble d’une avalanche de gags à la drôlerie immédiate que de transformer son burlesque en sadisme. |
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Au programme de cette bluette léthargique : chairs flasques et exotisme de pacotille. |
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Un météore halluciné horripilant par sa lourdeur grotesque et charmant par son syncrétisme vénéneux. |
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Mysticisme besogneux et inepte noyé dans une esthétique de pacotille. Le film finit par s'évaporer à force de vacuité. |
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Filature enjoignant à la flânerie, qui enfouit sa périphérie dans la fixité métallique de l’été languide qui l’habite. |
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Apothéose mortifère de l’épopée avec l'agonie de corps ayant accompli leur mue numérique. |
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La mise en scène, tout en ruptures, arbore une tonalité dérangeante pour le visionné ou le spectateur, acculés. |
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Échec de la captation clinique de l’abandon. La raideur structurelle fait glisser la vision féminine vers une virilité érectile. |
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La texture hypnotise : beauté fuselée ou lenteur différée des mouvements induisent un érotisme prégnant. |
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Le long métrage s'étiole ainsi dans un climax austère et stérilisé induisant une dépression presque morbide. |
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Un excellent épisode de la saga : torturé, ambigu et graphique. Action et rêves à satiété. |
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Descente aux enfers pour un veuf à la recherche d'une épouse. Un film dérangeant et violent sur l'altérité. |
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Un oeuvre délicate sur l'isolement et la foi. Une quête agnostique centrée sur la psyché d'une femme à la dérive. |
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Une métaphore de la barrière ténue et poreuse entre réel et virtuel. Un objet hybride, incongru et (d)étonnant. |
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