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Le souffle limpide du visage d’un purgatoire inique et paradoxal condamné à voir défiler son enfance innocente. |
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Sur un mode défectif, le film se complaît dans le misérabilisme et s’en remet à son dispositif troussé sans génie. |
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Une chronique décalée, nostalgique et burlesque sur la famille et la seconde chance. |
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La chute adultérine et narcissique d'un homme qui se désolidarise du monde à force de l'inféoder à son regard. |
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Englué dans un carcan binaire, un cinéaste aux abois, errant avec flegme de transgressions molles en raffinement éventé. |
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Dérive solipsiste d'un homme corseté par un trio aux relents religieux et psychanalytiques. |
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Sinistre supplice du Pygmalion que d’observer le cisèlement d’un joyau convoité. |
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Sensation d'absence d'échappatoire pour images prisonnières d'un horizon visuel pétrifiant. |
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Un polar métaphysique sur l'anéantissement d'individualités leurrées par une entité anonyme, achronique et ubiquiste. |
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Déliquescence d’un univers malade, miné par des années de martyrs qui apparaît sur le visage de Calista Flockhart. |
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Une adaptation trop démonstrative, un scénario exsangue et une mise en scène opiacée. |
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